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30 sujets de 151 à 180 (sur un total de 223)
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  • en réponse à : Think tank sur le crowdlending #7913
    Mwy
    Participant

    @Etienne2803, bienvenue à toi et ta curiosité

    en réponse à : Think tank sur le crowdlending #7910
    Mwy
    Participant

    @David, bienvenue parmi nous

    en réponse à : Think tank sur le crowdlending #7906
    Mwy
    Participant

    @mat je suis d’accord également concernant cet objectif, mais actuellement il ne me semble pas raisonnable de l’envisager autrement qu’à moyen / long-terme. Nous aurons l’occasion d’en reparler. En attendant je te remercie pour tout le travail que représente ton blog et l’ensemble des outils que tu fais graviter autour, et pour la qualité de l’information / analyse que tu produis ici … Cela représente un travail colossal mais je crois que l’objectif est parfaitement rempli.


    @mat
    , @LeadMan, @Pascal : merci pour votre mobilisation, bienvenue à bord !

    J’ai oublié de préciser : Nous n’attendrons pas d’avoir réuni un nombre minimal de collaborateurs pour démarrer, d’ici quelques jours nous aurons l’occasion d’échanger ensemble sur nos attentes à propos de cette nouvelle structure de réflexion.

    en réponse à : déjà beaucoup de défaillances ! #7900
    Mwy
    Participant

    @mat

    j’ai créé un sujet à cet effet 😉

    en réponse à : WeShareBonds : Une copie de Lendix ? #7898
    Mwy
    Participant

    Idem que Pascal pour moi aussi.

    1°) faire grossir un portefeuille devient un casse tête (ou demande de renflouer son compte en permanence)

    2°) faire du VIP (ticket d’entrée hors de portée) casse tout l’intérêt de faire du viral (bouche-à-oreille)

    3°) les fonds remboursés ne peuvent plus travailler tant que les précédents n’ont pas rapporté suffisamment – corollaire : en cas de défaut, impossible de réinvestir des gains devenus trop maigres à moins de se re-provisionner

    Je pense que vous pouvez rester sur l’idée d’un ticket minimum élevé, mais il vous faut chercher des solutions pour répondre aux problématiques que cela pose. Des paliers de souscription peut être, ou encore un taux qui évolue en fonction du ticket (c’est ce qu’a choisi HEXAGONe par exemple, même si le secteur est un peu différent)

    en réponse à : déjà beaucoup de défaillances ! #7895
    Mwy
    Participant

    @mat je suis tout à fait d’accord avec toi, il y a corrélation entre le taux de défaut et l’âge des prêts. A la décharge d’Unilend ils sont donc mathématiquement défavorisés sur ce point face aux plateformes plus jeunes, j’ose d’ailleurs espérer que chaque prêteur en est conscient 😉 …

    Là où pour moi ils ne remplissent clairement pas leur rôle, c’est sur le traitement très superficiel qu’ils accordent à ces défauts, et la manière qu’ils ont de mêler politique de l’autruche et langue de bois.

    Etant sur le marché depuis plus de temps que l’ensemble de leurs concurrents, on pourrait penser que l’expérience acquise leur aurait permis d’établir un standard dans le service rendu aux utilisateurs, en particulier en cas de défaut.

    Hors sur ce point ils n’ont clairement pas su tirer leçon de leurs erreurs passées.

    La récente modification des conditions d’utilisation de la plateforme, qui introduit certaines notions permettant au droit des prêteurs de s’exercer plus facilement arrive bien tard, chaque plateforme un peu solide ayant déjà mis en place sous une forme ou une autre un mécanisme de mutualisation du risque et/ou protection et/ou recouvrement …

    Il n’y a qu’à constater le nombre de pages du thread sur lequel nous sommes … Et de lire l’ensemble des commentaires pour constater l’absence d’action de la plateforme dans une écrasante majorité des cas.

    De cette équation il reste que les utilisateurs ont des attentes, si 3 ans ne suffisent pas à les satisfaire c’est que le problème n’est pas entendu.

    Pour en revenir à quelque chose de moins vindicatif, je me souviens que tu avais publié un livre blanc sous la forme d’un ebook pour faire un état des lieux du secteur … (Que je reconseille à tout le monde de relire d’ailleurs, avec le recul des mois qui passent)

    Je me faisais une réflexion à ce sujet : Pour aller plus loin et étant donné que le site crowdlending.fr avec son site et son aggrégateur rassemblent véritable vivier à la fois de compétences et d’expertise dans le domaine de la finance, du crowdlending, des nouvelles technologies et bien d’autres encore, que penseriez vous d’initier un  « think tank », chargé de produire non plus seulement une analyse mais un ensemble de propositions et de bonnes pratiques à l’usage autant des utilisateurs que des plateformes ?

     

    • Cette réponse a été modifiée le Il y a 7 années, 10 mois par Mwy.
    en réponse à : HEXAGONe #7846
    Mwy
    Participant

    @HEXAGONe : Bonjour,

    je viens de faire un tour sur votre site et je me pose quelques questions :

    Pour quelle raison est il nécessaire de remplir le questionnaire AMF ?

    La durée moyenne actuelle des projets présentés est de 12 mois, quelles sont les durées minimales et maximales des projets susceptibles d’être présentés ?

    Hormis la fiscalité, quelles sont les différences avec un investissement SCPI ?

    Pourquoi la rentabilité est elle fonction du montant investi ?

    Comment comptez-vous vous prémunir contre les risques de défaillance économique des porteurs de projet ?

    voilà voilà, je crois que c’est tout pour l’instant.

    Au plaisir de vous lire 😉

    en réponse à : WeShareBonds : Une copie de Lendix ? #7842
    Mwy
    Participant

    Je me fais la même remarque que Pascal.

    200€ au minimum : voilà le meilleur moyen de vous couper d’une bonne partie des investisseurs potentiels …

    J’ai quelques prêts qui oscillent entre 50 et 350€ quand la grande majorité de mes participations est plutôt entre 20 et 50€.

    Comprenez bien que si la petite blinde est à 200€ je ne fais même pas l’effort de m’inscrire sur la plateforme car mes moyens ne me permettront pas de diversifier mes projets suffisamment rapidement.

    Nous sommes à l’ère de l’agilité, du customisable, de la pondération. Pour moi un investissement minimum à 100€ c’est la grande limite, si c’est 50€ c’est mieux, si c’est 20€ c’est de la souplesse en plus.

    en réponse à : déjà beaucoup de défaillances ! #7839
    Mwy
    Participant

    Voilà qui explique peut être la fuite de plusieurs investisseurs de cette plateforme … Il ne faut pas s’y tromper messieurs : ce secteur est jeune, il est normal que les écueils soient encore nombreux.

    Les personnes qui persistent dans ce type de produit sont un peu les aventuriers d’aujourd’hui : il faut savoir faire preuve d’assez de prudence pour ne pas se mettre en danger, et d’agilité pour pouvoir s’adapter aux changements de conditions.

    Le crowdlending est une aventure intéressante, mais avec les risques présents aujourd’hui il vaut mieux y trouver un intérêt qui n’est pas que financier.

    en réponse à : déjà beaucoup de défaillances ! #7794
    Mwy
    Participant

    Leur taux de défaut est supérieur à leur TRI globlal (en chute libre depuis quelques semaines, malgré la méthode de calcul un peu cavalière qu’ils utilisent) … Je sais que ces deux chiffres ne représentent pas la même chose et ne se comparent donc pas, mais pour moi cela est représentatif de leur qualité … 😉

    en réponse à : Pourquoi les plateformes vont disparaitre #7793
    Mwy
    Participant

    Comme toute les technologies, la blockchain a des limites et présente des inconvénients :
    * Elle commence petit à petit à se transformer en argument commercial plutôt qu’en outil de décentralisation / prise de décision. La réussite et la couverture médiatique du projet « The DAO » sont élogieuses, mais n’oubliez pas les catastrophes qui ont eu lieu dans l’univers BitCoin (en particulier la fraude Mt.Gox)
    * Elle n’est décentralisée que si la puissance de calcul utilisée pour le minage des coins et la validation des transactions est elle aussi décentralisée (i.e : les utilisateurs du système exploitent leur puissance de calcul). Si la puissance de calcul est en majorité détenue par un même acteur il peut alors manipuler les transactions selon son gré.
    * Macron souhaite utiliser la bockchain comme base sur laquelle appuyer les minibons. Dans quelle mesure l’anonymat des transactions pourrait être garanti, à partir du moment où c’est le gouvernement qui souhaite exploiter cette technologie ?
    * La blockchain et l’ensemble des crypto-monnaies qui exploitent cette technologie sont toujours tributaires des plateformes d’échange.

    Bref. La blockchain c’est une avancée technologique, c’est un outil plein de promesses, mais dans ses usages aussi bien que dans la façon de l’utiliser il reste plein de questions qui me font dire que pour l’instant l’engouement autour de ça est surtout un effet de mode.

    en réponse à : Transfert des comptes Finsquare vers Lendix #7716
    Mwy
    Participant

    mon petit grain de sel apporté au débat :

    La fusion de deux systèmes de gestion de base de données différents nécessite beaucoup de travail en amont.

    En raison du volume de données notamment, il est très complexe d’effectuer une simulation réaliste de ce qui se passera lors de la migration. La plus grande partie de la réflexion s’appuie donc avant tout sur des tests à une échelle moindre, et sur l’anticipation de certains risques connus (timeout du SGBD, violation de contraintes, pertes d’information) … Il est très délicat d’être exhaustif dans la prévision des cas particuliers qui se présentent.

    Le second point concerne les règles de calcul qui permettent aux plateformes de vous afficher toutes les valeurs calculées (taux, CRDs, amortissements, que sais-je encore). Ces règles bien qu’exactes d’un point de vue financier, peuvent avoir fait l’objet d’implémentations différentes (arrondis, calculs en virgule flottante, troncation de mantisses). La conversion d’une formule mathématique, même simple, en  langage informatique ne peut pas être considérée comme une étape de simple traduction.

    Bref vous l’aurez compris, il est quasiment inévitable que des retards interviennent et que l’équipe en charge de la migration doive faire face à des points durs imprévus.

    Ma conviction est que, étant donné que les problèmes (même minimes) sont quasi-inévitables, ce qui importe le plus dans le cadre de cette migration est finalement la façon dont ces derniers sont pris en charge et résolus. De ce point de vue là, je trouve que la décision de Lendix de prendre un peu plus de temps, ainsi que leur communication franche sur le sujet sont plus que correctes. Ils n’ont pas pu éviter certains écueils mais ils ont pris des décisions pour y faire face, ils expliquent ces décisions à leur communauté, et puis ils s’excusent de la gêne occasionnée.

    Pour moi Lendix fait preuve ici de respect envers les utilisateurs de sa plateforme, j’apprécie !

    Ils viennent jusqu’ici faire face aux mécontentements, et pour défendre leur façon de faire et leur point de vue, cela aussi ça compte. Ne soyez pas trop sévères avec eux, ils sont à l’écoute 🙂

    en réponse à : déjà beaucoup de défaillances ! #7607
    Mwy
    Participant

    Unilend ne peut il pas, en dehors de sa qualité d’intermédiaire actuel, proposer aux prêteurs de se faire mandater par eux pour effectuer les démarches nécessaires ?

    De la même façon qu’Unilend peut effectuer pour notre compte ces actions sur les contrats les plus récents, je ne vois pas ce qui empêcherait qu’il agisse de la même manière dans cette affaire, sous condition bien entendu que les prêteurs lui donnent mandat …

    Après tout, pourquoi se constituer en association s’il y a déjà une structure capable de parler au nom des prêteurs et de les représenter en justice ?

    Il ne me semble pas que l’antériorité du mandat soit nécessaire pour faire représenter les intérêts des prêteurs par un tiers (corrigez moi si je me trompe).

    en réponse à : Lancement de la plateforme Les Entreprêteurs #7585
    Mwy
    Participant

    @Jean-Philippe-Gontier merci pour votre réponse. Je comprends mieux votre démarche et je souhaite que votre méthodologie vous apporte le plus faible taux de défauts possibles 😉

    A mon sens la prise de contact avec les dirigeants, est un pas important vers la détection de situations à risque, tout autant que les chiffres, c’est une très bonne chose à côté de laquelle il n’aurait surtout pas fallu passer. J’aurai deux autres questions : la complétez vous par un étude (ou un survol d’étude) psychologique du/des dirigeants comme une certaine autre plateforme dont j’ai oublié le nom ? Et effectuez-vous une recherche concernant le passif du/des dirigeants de la société (frénésie créatrice de société, précédents de redressements/liquidations judiciaires) ?

     

    en réponse à : HADC en retard #7583
    Mwy
    Participant

    @Jacquouille avec plaisir 😉


    @paseo
    belle réactivité 😀 !

    • Cette réponse a été modifiée le Il y a 7 années, 11 mois par Mwy.
    en réponse à : Etes vous SuperPrêteur ? #7582
    Mwy
    Participant

    Je ne suis pas sur leur plateforme, mais je leur souhaite bien du bonheur s’ils veulent créer un effet « vente-privée » … La rareté et le VIP c’est bien quand ça concerne de réellement bonnes affaires.

    Mais bon après tout, on avait déjà une plateforme qui partait dans le hard-discount … on a pas fini d’en voir 🙂

    en réponse à : Concernant ALM SAS #7581
    Mwy
    Participant

    Je reprends :

    le montant du passif estimé est d’environ 300k€ (je n’ai additionné que les dettes bancaires + créances de moins de 500€)

    5% de ce montant = environ 15k€

    Ce qui veut dire que les plus petites créances peuvent être remboursées sans délai ni remise dans leur ordre croissant dans la limite de 15k€.

    Les plus petits créanciers ont donc tout intérêt à demander l’option C.

    la somme des créances de moins de 500€ représente un peu plus de 39k€, les 15k€ font donc presque la moitié. La distribution des offres étant assez concentrée dans le bas, je dirais qu’entre 60 et 75% des créanciers Unilend peuvent être remboursés via l’option C (plus le montant de votre prêt est faible, plus il est probable que cela passe)

    On essaie ici de les inciter à faire une croix sur leur créance, pour favoriser les plus gros porteurs qui auront ainsi peut être la possibilité de taper elles aussi dans ces 5% du passif estimé.

    en réponse à : Lancement de la plateforme Les Entreprêteurs #7548
    Mwy
    Participant

    pour apporter mon petit grain de sel :

    en dehors de l’incitation à l’investissement par le premier cercle, et de la mise en responsabilité du porteur de projet, LesEntreprêteurs semble avoir pioché ça et là les fonctionnements que l’on retrouve ailleurs.

    Rien de bien folichon donc … Mais l’important c’est que la mayonnaise prenne 😉 …

    Un point que je jugerai négatif, c’est la pré-sélection des projets par des outils d’analyse financière … D’une façon générale, je me méfie comme de la peste des outils d’analyse, diagnostique, aide à la décision ou que sais-je encore (bien qu’étant à l’aise aussi bien avec les problématiques auxquels ils doivent répondre qu’avec les secrets de leur fabrication et toute la cuisine interne qui les compose) … La tentation est toujours grande pour les équipes d’analyse et de décision de s’appuyer sur les résultats issus de l’outil. Dès lors qu’une décision doit faire appel à l’estimation d’un risque il est préférable de réaliser une analyse purement humaine de bout en bout.

    Ce type d’outil est plus à sa place dans un secteur ou il n’y a pas d’inconnues ou dans un laboratoire ou les résultats attendus ne répondent qu’à des équations scientifiques déterministes et non pas à des statistiques de défaut. Oui je sais, j’ai une opinion très tranchée, vous me la pardonnerez ;o)

    Un point en revanche que je jugerai très positif : la présence d’un interlocuteur de la plateforme sur ce forum … 🙂 il est toujours agréable d’échanger avec les responsables des plateformes que l’on utilise.

    Je reproche très souvent aux plateformes le fait d’oublier que dans l’ère du « tout internet », on ne peut pas construire une plateforme qui fonctionne sans avoir également une communauté qui fonctionne (regard noir vers Unilend). S’il y a justement quelque chose qui peut aider à faire monter la mayonnaise c’est probablement l’aspect social et collaboratif. L’assistance en ligne sur votre plateforme est également un plus certain, peut être d’autres fonctionnalités de ce type aideront la communauté à se sentir chez elle sur LesEntreprêteurs ?

    De ce point de vue là, pour l’instant je n’ai vu aucune plateforme qui aille plus loin que l’intégration d’un fil de discussion sur la page d’un projet. A mon sens c’est regrettable.

    voilà voilà … Je vais envisager sérieusement de tester cette plateforme qui a l’air pleine de promesses, au fil de mon désinvestissement d’Unilend … 😉

    en réponse à : Evolution de la plateforme Lendopolis depuis 2015 #7545
    Mwy
    Participant

    @PretPartez : au vu de ses gloires actuelles, il faut être un inconscient pour préférer Unilend 😉 …

    Au vu de l’analyse faite par Mathieu, il ressort que Lendopolis a l’air de souffrir de la concurrence … Pour une plateforme plus ancienne que Credit.fr, par exemple, il semblerait qu’ils soient en nette perte de vitesse … Quels éléments pourraient expliquer cela selon vous ?

    en réponse à : HADC en retard #7541
    Mwy
    Participant

    Le dirigeant n’est il pas couvert par une assurance ?

    en réponse à : Credit.fr : Evolution depuis 2015 #7540
    Mwy
    Participant

    L’évolution de cette plateforme semble en effet suivre le bon chemin, la progression se fait en douceur, en revanche la plateforme est encore très jeune pour moi, je ne me prononcerai donc pas sur sa pérennité ni de sa présence future lorsque le secteur commencera à se consolider.

    en réponse à : Concernant ALM SAS #7528
    Mwy
    Participant

    Si vous avez 10 ans à perdre pour récupérer votre créance choisissez l’option B.

    Pour les créances de montants plus importants ou pour lesquelles vous ne souhaitez pas voir étaler la créance sur 10 ans (qui sait ce qui sera arrivé d’ici là) choisissez l’option C.

    Enfin si la charge administrative de l’option C vous rebute ou si pour toute autre raison vous préférez abandonner, alors prenez l’option A.

    Je ne suis pas concerné par cette affaire, mais il me semble que d’un point de vue purement logique il est cohérent d’agir ainsi.

    L’option A vous perdez votre capital.

    L’option B vous ne perdez rien non plus si ce n’est du temps.

    L’option C vous perdez du temps, de façon moindre, ainsi qu’un peu de votre énergie.

    Ce n’est pas un mystère si les options sont présentées dans un ordre donné et si l’option par défaut est la première : il s’agit d’un mécanisme dont le but est de faciliter le travail du liquidateur.

    • Cette réponse a été modifiée le Il y a 7 années, 11 mois par Mwy.
    en réponse à : Concernant ALM SAS #7515
    Mwy
    Participant

    Le résultat de cette affaire, c’est que tout sera fait pour que les créances aux banquiers soient remboursées, et pour vous les miettes.

    Tout, dans le fond comme dans la forme de cette procédure est fait pour vous décourager d’exiger le remboursement intégral de votre dette, au profit non pas de la société en difficulté mais des banques auxquelles elles doivent de l’argent.

    En vous « asseyant » sur vos créances, vous ne sauvez pas une société, vous permettez juste qu’elle rembourse les acteurs institutionnels plutôt que vous.

    D’une part : cela devrait être déductible, d’autre part : les prêteurs de petites sommes devraient justement être remboursés en priorité, le reste allant aux banques qui ont suffisamment de temps et de liquidités devant elles pour attendre le complément sur les 10 ans à venir.

    Troisième point : En particulier sur ce projet, il est très clair qu’Unilend a failli dans son devoir d’analyse et de sélection des dossiers. Ils sont en faute dans cette affaire et on peut constater que contrairement à Finsquare (ou Lendix, je ne sais plus quel acteur exactement) qui dans une situation similaire a offert aux prêteurs de racheter leur CRD (à titre exceptionnel), Unilend préfère vous laisser vous battre seuls avec les différents interlocuteurs. C’est très dommage … pour vous.

    en réponse à : déjà beaucoup de défaillances ! #7514
    Mwy
    Participant

    Au moins pas de perte en capital. Il est dommage qu’une pénalité de remboursement anticipé ne soit pas prévue par la plateforme.

    Pour revenir au sujet du thread : le taux de rendement interne global sur Unilend semble avoir amorcé une phase de décroissance importante …

    Question réthorique : Lorsque l’on sera en dessous de 5%, Unilend modifiera-t’il sa politique, ou sa méthode de calcul (qui semble déjà non orthodoxe …) ?

    en réponse à : Absence de projet sur Unilend : Doit-on s'inquiéter ? #7513
    Mwy
    Participant

    c’est sûr ça n’inspire pas la confiance. En soi de petits projets ne m’embêtent pas, ce sont surtout la politique les résultats actuels d’Unilend qui me font fuir …

    en réponse à : déjà beaucoup de défaillances ! #7446
    Mwy
    Participant

    @libertit : remboursement comprenant également les intérêts ?

    en réponse à : Evolution de la plateforme Unilend depuis 2015 #7369
    Mwy
    Participant

    @Mathieu, sacré boulot ! 🙂 … hâte de voir ton analyse sur les autres plateformes !

    Je te rejoins sur le fait que si le taux est corrélé au risque, il ne devrait pas évoluer en fonction du nombre de prêteurs, il est probable que l’impact de cette variable soit démultiplié dans le cas d’enchères inversées, ce mécanisme n’encourageant pas à la réflexion (et sa version automatique encore moins).

    D’ailleurs je pense que sur d’autres plateformes qui fonctionnent différement on observera une baisse des taux moins importante que chez Unilend … j’attends de voir si cela est confirmé par tes graphiques 😉

    Pour ma part, je pense qu’un bon système serait :

    – soit un système à taux fixe, déterminé par un collège d’expert en conclusion d’une analyse fine de la santé financière de l’entreprise, de son business-model ainsi que du contexte économique dans lequel elle se situe.

    – soit un système d’enchères inversées à l’aveugle en un tour : chacun a la possibilité de placer une et une seule offre. En fin de souscription seules les offres les plus avantageuses pour l’emprunteur sont conservées. Cela demande un effort d’analyse aux prêteurs (et donc de réflexion), plutôt qu’un effort de « présence » dans les derniers instants de la souscription. On constaterait probablement une régulation naturelle des taux en relation avec les risques estimés au fur et à mesure que les gens constateraient les taux résultats des projets précédents.

    Empiriquement parlant il semble que les prêteurs, de façon individuelle, ont tendance à suivre le troupeau (je ne parle pas des gens présents sur ce forum 😉 ). Il faut donc éduquer l’ensemble des prêteurs de façon collective.

    Créer une réflexion de groupe plutôt qu’une réflexion individuelle peut participer à cet objectif.

    en réponse à : Evolution de la plateforme Unilend depuis 2015 #7358
    Mwy
    Participant

    @Mathieu : sacré travail de bilan ! Mais je ne te rejoins pas sur ta conclusion.

    A mon sens, le rôle des enchères inversées n’est pas de faire baisser le taux mais plutôt de le réguler : au fur et à mesure des prises de positions successives, le taux se stabilise autour d’une valeur moyenne sensée être en rapport avec le risque présenté par le projet.

    Si les taux baissent depuis un an, c’est pour moi à mettre en relation non pas avec les enchères inversées (elles étaient déjà là en 2015 après tout, et les taux étaient plus hauts), mais plutôt avec le nombre croissant de prêteurs.

    Le schéma des enchères (inversées ou non, vente à la bougie, etc …) est d’ailleurs le mécanisme qui est retenu depuis tout temps pour se mettre d’accord sur le prix de ce qui n’en a pas (par manque d’éléments de comparaison, rareté, valeur, inadaptation du rapport entre taux et demande).

    Dans un tel schéma, chacun est libre de faire une offre en fonction de la valeur qu’il accorde à l’objet de la proposition (pécuniaire, émotionnelle, artistique, etc.).

    De la même façon qu’une vente aux enchères n’a pas pour but de faire monter le prix d’un objet mais bel et bien de trouver un accord entre le vendeur et un des acheteurs potentiels dans l’intérêt des deux, les enchères inversées en crowdlending ont pour but de permettre une régulation fine du taux d’un prêt au bénéfice à la fois des prêteurs et de l’emprunteur.

    Les limites de ce système, c’est bien qu’il faut justement que le taux (le montant aussi) d’une offre soit choisi en toute connaissance de cause par les prêteurs, en se basant sur des critères personnels d’appréciation (risque, intérêt pour le projet, pour le secteur d’activité, aspect social, économique, autres etc. du projet)

    Malheureusement, d’une : l’information fournie aux prêteurs, et en particulier la qualité de l’analyse du projet chez Unilend ne permettent pas d’appréciation fiable du risque, de deux : le mécanisme de l’autolend va à l’encontre même de ce principe, la constatation peut en être faite depuis sa mise en place : dès le montant demandé atteint, la dégringolade des taux se fait à toute allure.

    en réponse à : Evolution de la plateforme Unilend depuis 2015 #7357
    Mwy
    Participant

    @Jacquouille : c’est déjà fait, c’est tombé à 4% … mais étant donné le faible montant et la durée ultra-courte (6 mois) le risque est relativement faible.

    Je pense que même sans l’autolend le résultat aurait été assez proche. Cela se serait fait moins rapidement peut être …

    en réponse à : MAJ du processus de remboursement mensuel de Finsquare par Lendix #7301
    Mwy
    Participant

    Pour exprimer les choses différemment, c’est comme si, sur un projet de 5 ans (60 mois) vous aviez 60*(5j ouvrables) = +300 jours (en réalité ~un an) de retard cumulé sur une mensualité.

    Donc l’équivalent d’une mensualité qui ne travaillerait pas sur un an.

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