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J’ai la même réaction sur le risque et la fiscalité que @Mwy et @Wislvlerhill
Chaque projet est différent et indépendant donc la multiplication des projets ne me choque pas.
Les promoteurs vivent des chantiers qu’ils font, il faut simplement regarder les résultats annuels pour voir s’ils sont bénéficiaires. Pour ma part je ne sais pas analyser un bilan de promoteurs car les normes et ratios sont complètement différentes d’une entreprise industrielles ou commerciales.
Si quelqu’un est spécialiste dans ce domaine il est le bienvenu pour nous donner son avis sur les promoteurs présentés par WiseedBravo et merci pour vos réponses très claires
En ce qui me concerne je suis déjà préteurs en crowdlending sur 5 plateformes depuis mai 2015 et préteurs en crowdfunding depuis février 2015.
J’ai atteint le maximum du montant que je m’étais fixé (5% de mon patrimoine financier) dans chacune de ces activités donc je réinvesti uniquement mes remboursements.
Je ne peux donc pas ouvrir une nouvelle plateforme pour le moment mais je vous suis avec attention dans le cas ou
Bon courage pour dans cette aventure@Mwy
Entièrement d’accord avec toi pour préconisation, j’avais mis cahier des charges parce que je n’avais pas trouvé autre chose.
Ce terme peut s’employer pour l’ensemble des demandes que nous allons formuler que ce soit aux plateformes mais aussi à nos autorités officielles.Par contre le terme « guide de la relation plateforme-préteur » ou « guide des bonnes pratiques » ne sont ils pas trop restrictifs car nous aurons également dedans nos demandes à nos autorités officielles (fisc et autres)
Ne peut on pas faire à coté d’un guide (ou à l’intérieur de celui ci) un recueil de nos préconisations envers nos interlocuteurs (nom à peaufiner)
Je pense qu’il pourrait être utile quand même de rappeler dans l’argumentaire de notre proposition qu’effectivement nous agissons dans un but citoyen et créons de l’emploi,… en fait reprendre les arguments de @Mwy
Une petite question. Qui va tenir la plume pour rédiger l’ensemble de notre cahier des charges?
En ce qui me concerne je vote pour la première option (suppression de la part IR pour ne conserver que la part CSG déductible à chaque remboursement comme aujourd’hui)
Pour éclairer le débat, quelqu’un peut il nous dire la différence entre une association, une fondation et une fondation reconnue d’utilité publique
Merci
@Mwy
Et surtout dans un premier temps de rédiger cette proposition pour la mettre dans nos objectifs ou cahier des charges (peut on appeler ça comme cela?)Il serait bien que chacun vienne apporter sa contribution dans les différents sujets ouverts par @mwy afin de dégager une première synthèse avant la fin de l’année, par exemple.
Bienvenu @henri2153
Nous attendons tes remarques et suggestions sur ce forum du Think tank afin de pouvoir élaborer une plateforme de nos souhaits et revendications.
Quand nous serons clairs sur le sujet, nous pourrons envisager de mettre en place une structure juridique nous permettant d’aller défendre nos intérêts auprès des autorités compétentes.Il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs
Le calendrier électoral en France nous laisse environ 1 an pour mener ce projet (élection présidentielle et législative).
Une chose est importante pour nous, le travail doit être le fait du plus grand nombre et non de quelques personnes dans leur coin. C’est à dire être le plus transparent possible, faire participer les membres (et ne pas seulement tenir les autres membres au courant) et avoir l’adhésion du plus grand nombre avant d’acter une position ou effectuer un acte quelconque.
Il reste à déterminer le moyen d’y arriver, mais je pense que l’on peut en discuter ici, car le sujet est justement : Représentation des prêteurs
Bien sûr plus nous serons nombreux plus nous serons représentatifs des investisseurs particuliers donc il nous faut faire connaître notre projet et inciter les préteurs à participer en donnant leurs avis
@mwy a déjà mis en place un certain nombre de sujets de discutions, il serait bien d’avoir ton avis sur ceux-ci.Il me paraît important d’établir une première mouture de nos souhaits à partir des sujets mis en ligne par @mwy avant éventuellement d’ouvrir d’autres débats.
J’ai effectivement reçu son mail mais l’ai détruit par mégarde. Je me souviens il y avait son adresse (à Nice je crois) et son numéro de téléphone.
Si elle veut créer une association qu’elle participe à ton blog et dans un premier temps viennent donner ses idées sur le Think thank
On verra ensuite
Très bonne idée j’approuve complètement
Entièrement d’accord avec toi sauf que le capital humain ne fait pas partie du patrimoine d’un autre être humain ou c’est de l’esclavage.
Comme tu le dis bien c’est un capital hors la discution portait sur la composition du patrimoine
Voici la définition par l’INSE du patrimoine
Grâce à leur épargne, les agents économiques peuvent accumuler du capital qui est mesuré en termes de stocks d’actifs non-financiers et financiers en fin d’année. Les actifs non-financiers sont des biens corporels ou incorporels sur lesquels des droits de propriété peuvent être exercés. Les actifs financiers sont des actifs économiques qui se présentent sous forme de moyens de paiement ou de créances financières. Les passifs financiers sont des dettes.
Le compte financier rend compte de l’accumulation de richesse des secteurs institutionnels (ménages, entreprises etc.) sous forme d’actifs et de passifs financiers. Ce compte présente les flux en cours d’année et les stocks de fin d’année d’actifs financiers (numéraire, prêts, actions, obligations etc.) et de passifs financiers (dettes).
Le compte de patrimoine rend compte de l’accumulation de richesse des secteurs institutionnels (ménages, entreprises etc.) sous forme d’actifs non financiers ainsi que d’actifs et de passifs financiers. Ce compte présente les encours en fin d’année et les variations en cours d’année pour tous les types d’actifs et de passifs.
Pour moi il oublie le patrimoine professionnelle. Ma définition du patrimoine d’un particulier est composé d’actifs et de passifs.
Dans l’actif tu as :
• le patrimoine immobilier : les propriétés foncières et immobilières•Le patrimoine professionnel : les propriétés professionnelles et parts d’entreprises
•Le patrimoine financier : les comptes d’épargne (livrets d’épargne, assurance vie, épargne retraite), les placements financiers tels que les valeurs mobilières (actions cotées, obligations, titres,…), le compte de dépôt bancaire
•Le patrimoine artistique (objets d’art et de collection)
Sans oublier mais je ne sais pas ou les classer
Les meubles, véhicules, équipements domestiques et éventuellement tout ce qui concerne la propriété intellectuelle comme les brevets, droits d’auteurs,…En face de cela tu as les dettes
Emprunts (investissements, consommation et immobiliers)
Dettes fiscales et sociales
Dettes envers des tiersVoila pour moi la constitution d’un patrimoine
Je ne suis pas d’accord avec toi car, pour beaucoup d’entre nous, les montants que l’on met sur les plateformes sont de petites sommes et très fluctuantes. On enlève sur une plateforme, on laisse quelques temps sur notre compte et on en remet une partie sur une plateforme et une autre partie sur une deuxième plateforme et ainsi de suite.
Je vois mal comment gérer cela en crédit d’impôts.
Il ne faut surtout pas perdre toute la liberté que l’on a en s’imposant des limites pour quelques motifs que ce soient. Pour moi c’est un point primordial, je veux pouvoir mettre de l’argent ou en retirer à ma volonté.
Bonjour @jchante
Il est convenu que sur des produits à risques comme le crowdlending on ne doit pas dépasser 5% de son patrimoine financier (sans l’immobilier)
On peut mettre jusqu’à 10% de son patrimoine financier en produits à risques en diversifiant les produits. Par exemple 5% sur du crowdlending et 5% sur du crowdfunding
Voila déjà un projet ambitieux auquel je souscrit pleinement
Effectivement je pense également que la protection des intérêts des préteurs en cas de disparition d’une plateforme est la priorité des actions à mener avant même les défauts de paiements des préteurs.
Il faut mettre en place une sorte de back office du recouvrement pour l’ensemble des dossiers de la plateforme qui disparaît. Ce back office assurerait le recouvrement jusqu’aux poursuites judiciaires et autres.
Il pourrait être l’émanation de l’ensemble des plateformes soit par une cotisation pour la faire vivre (contrat passé avec un organisme ou entité indépendante qui pourrait également assurer la relance pour les petites plateformes), soit rattachée à l’une d’entre elle et financée par les autres.
En ce qui concerne les défauts des projets il y a deux cas. Des erreurs de gestion et la fraude.
L’erreur de gestion fait partie du risque que l’on accepte de prendre et est la cause d’un taux plus élevé qu’un placement sans risque. Dans ce cas je pense qu’il n’y a rien à faire.
Par contre les prêteurs ont besoin d’une protection plus forte dans le cas d’une fraude.
Je ne connais pas assez le droit pour savoir ce qui est déjà possible de faire mais si quelqu’un dans ce forum est un spécialiste il faudrait commencer à faire l’état des actions possibles pour pouvoir ensuite, soit imposer aux plateformes la marche à suivre, soit faire des propositions pour renforcer la protection des préteurs.
Les préteurs ont besoins de représentants pour défendre leurs statuts et les contraintes et avantages attachés.
Je pense qu’il faut d’abord être vraiment représentatif de la communauté des préteurs pour être vraiment légitime, c’est à dire communiquer sur nos réflexions et les demandes qui en découlent.
Ensuite se servir de la presse pour faire connaitre nos idées et demandes.
Enfin devenir un interlocuteur de nos gouvernants (chambres ou gouvernement?)
Je pense qu’une association serait peut être la forme juridique la plus appropriée, mais je ne connais rien aux problèmes juridiques donc il y a peut être une forme juridique plus appropriée.
En fait en ce qui me concerne seul est important le nombre de défaillance (en nombre et en montants) de la plateforme par an et depuis le début de son fonctionnement.
Après on compare ces chiffres au nombre d’emprunts effectués et au montant total de ces emprunts.
Éventuellement on peut descendre l’analyse par classes de risque données par la plateforme.
Le reste ne m’intéresse pas du tout
Mais comme pour le reste je suis prêts à en discuter avec vous
Avant de penser communication extérieure il faut que l’on se mette d’accord sur le cadre de notre mission.
En ce qui me concerne je pense qu’il faut définir une position sur la fiscalité, la protection des préteurs et la transparence des plateformes.
Une fois que nos revendications seront clairement définies il faudra les tester auprès des investisseurs par exemple en les présentant sur ce forum et en les faisant éditer dans quelques journaux spécialisés en finances.
En fonction des différentes réactions que nous pourrons constater modifier nos conclusions puis en faire une synthèse pour la soumettre soit à nos députés, soit au gouvernement en impliquant un média qui à mon avis sera le meilleur moyen que nos travaux ne soit pas enterrés.
personnellement je connais les deux dont parle @Mwy plus meilleureplateforme.com mais qui ne doit plus être alimentée.
En fait j’attends peu de chose comme statistiques sur le crowdlending.
La principale thématique du crowdlending est bien sûr les impayés. Il faudrait peut être un tableau annuel des incidents par plateforme avec le montant restant dû et une analyse du niveau de risque des projets par plateforme.
Autrement ce que nous donne Matthieu me convient c’est à dire un classement par mois et depuis le début de l’année en montant des sommes investies.
En tant qu’organisme faisant appel à l’épargne publique, je pense qu’il devrait y avoir une publication annuelle des comptes des plateformes avec les commentaires d’un expert et cela sous le patronage d’un organisme public. Cela nous permettait de connaitre la situation financières des plateformes et leur chance de survie.
Bonjour
Je reprends le fil du débat sur la fiscalité.
Comme vous je pense que le risque que nous prenons devrait être reconnu.
D’autre part, au bout de combien de temps peut on espérer récupérer sa perte en capital, j’ai peur que cela ne se fasse que 2 ou 3 ans après le 1er impayé.
Comme @etienne2803 je suis partisan d’une exonération d’impôts des intérêts provenant du crowdlending et de ne laisser que les 15.5% de prélèvements sociaux. Dans cette hypothèse on laisse tomber la récupération des pertes en capital que nous subissons
Je ne suis pas favorable à un temps imposé de blocage des fonds. Nous sommes déjà contraint par la durée des prêts je crois qu’il n’est pas la peine d’en rajouter.
Je reviens sur le Think tank après plus d’un mois et demi de coupure d’internet ou j’ai vécu le renvoi de balle entre Orange et SFR pour détecter la panne et la réparer, une vrai galère (il n’y a pas que des avantages d’être dans un petit village).
Je pense que je serai plus actif à partir de début novembre
Il ne faut pas oublier que certaines sociétés publient leurs bilan mais les comptes annuels sont accompagnés d’une déclaration de confidentialité en application du premier alinéa de l’article L. 232-25.
Les plateformes de toutes façon ont l’ensemble des liasses.
peut on empêcher une société de vouloir garder ses comptes confidentiels? Je ne pense pas car pour certaines la lecture d’une liasse peut donner des indications précieuses.
En ce qui me concerne je regarde toujours si les liasses sont déposées, si elles le sont mais sous confidentialités j’essaie de ne pas trop les pénaliser dans mon étude.
En fait cela dépend énormément des plateformes, certaines donnent de bonnes indications. La meilleure c’est PretUp avec son analyse financière très complète alors que d’autres sont avares de chiffres. La pire c’est peut être Lendix qui ne donne quasiment aucun chiffre.
En résumé oui pour imposer une condition suspensive d’éligibilité des dossiers si les comptes ne sont pas déposés mais cela ne résout pas complètement notre problème d’accès à l’information pour ceux qui demandent la confidentialité et que l’on ne peut pas pénaliser.
Je n’avais pas vu les deux autres projets (période de vacances ou je suis moins présent)
Par contre pourquoi le projet des Pyrénées Atlantique pars moins vite que les autres
Je connais bien Combo les Bains et j’adore ce village. D’ailleurs c’est un des endroits ou je pourrais passer ma retraite quand le temps viendraJe l’espère cela permettra à plus d’investisseurs d’y aller même si ce projet à l’air d’avoir du mal à se finaliser (vraiment dommage de ne pas savoir le niveau d’engagement atteint)
Descendez voter minimum à 50 euros (l’idéal étant de 20 euros) et vous aurez surement plus d’inscrits et donc de préteurs
J’aime bien le dessin de @etienne2803 mais avec le petit bonhomme en bleu et la fleche en plus rouge pour faire moins fade
@20-100
Pour les autres plateformes c’est pris en compte