- Ce sujet contient 2 réponses, 3 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par , le Il y a 8 années, 4 mois.
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Affaire très ancienne d’articles de luxe ayant pignon sur la rue de Rivoli à Paris.
Mais 90% du CA se fait à l’export vers des pays émergents, donc pas d’affacturage.
Stocks, clients, découverts très lourds. Les importants concours bancaires doivent être en partie garantis par un nantissement sur le magasin.
Son axe de développement vers ces pays à haut risque me paraît dangereux, même s’ils vendent sans doute aux potentats desdits pays.
Même sur 24 mois, je ne pense pas y aller.
Il y a des provisions importantes non pas pour risques comme indiqué chez Unilend mais pour dépréciation de stocks et de créances clients. De ce fait la CAF annoncée de 534K n’est pas forcément représentative car ces provisions peuvent déboucher sur des pertes définitives.
Si on réintègre ces provisions, la CAF est trop faible pour absorber les emprunts actuels et futurs. Je m’abstiens.
Il y a du avoir un épisode malheureux avec SAGIL communication en 1997-2010 (408341196), de ce que je vois la gestion semble sauter une génération, peut être lié.
Ca ne présume en rien de l’avenir et de la solvabilité d’une société fondée en 1938 (enregistrée en 1947 me dit société.com), néanmoins compte tenu de la situation géopolitique, 90% à l’export me paraissent trop risqué.
Et puis mon épouse ne connais pas alors je m’abstiendrais .
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